Il y en a qui les lisent et ensuite les donnent. Y en a qui les lisent et finie leur mission les vendent. Y en a qui les lisent et les gardent dans leur bibliothèque. Moi, je fais tout cela à la fois et je les achète neufs et/ou d’occasion (en papier et très peu en numérique). Ben oui, il y a des fois des ruptures de stocks et on ne peut les trouver que grâce à des bouquinistes physiques ou virtuels qui font le nécessaire pour aller les chercher, surtout quand leur outil d’alerte enregistre que quelqu’un est intéressé.
Là, ma bibliothèque s’est enrichie de trois nouveaux dont deux écrits par la seconde dame, la franco-marocaine Zakia Daoud, dont j’aime tout ce qu’elle écrit comme j’ai aimé Fatima Mernissi et tout ce qu’elle avait écrit. Déjà feuilletés ces deux nouveaux-anciens de cette dame et quel plaisir m’attend de découvrir des analyses et des informations historiques anciennes et récentes !
Le troisième, je l’attends depuis plus de deux ans, il va m’apprendre ou plutôt enrichir mes connaissances sur ce que la culture doit aux Arabes d’Espagne, sujet qui m’intéresse depuis que j’ai commencé à m’intéresser au patrimoine culturel que mon père avait essayé de me transmettre, à sa façon, avant sa mort.